Interview : Traduire des mangas

▶Découvrir le métier de traducteur
▶Connaître quelques grandes différences entre le français et le japonais
▶S’intéresser à la situation du manga en France
▶Grammaire : la question rhétorique

Réponses

  1. la plupart du temps
  2. des fois
  3. un métier
  4. cela veut dire que, à savoir que
  5. La France est le troisième marché mondial des mangas. Elle était le deuxième, après le Japon, jusqu’à très récemment.
  6. Faux, c’est un genre de manga qui cible traditionnellement les jeunes filles, mais en réalité, ils sont lus par toutes les couches sociales car ils traitent de thèmes très variés, peut-être plus variés que les « shônen », leur pendant masculin.
  7. a) Le sujet d’une proposition peut être souvent omis en français en japonais.
    b) Contrairement au japonais, la répétition n’est pas admise en français.
    c) La taille des bulles des mangas est parfois trop grande petite pour la traduction française.
  8. a) Être traducteur indépendant, ça veut dire (ça signifie) travailler en autonomie totale.
    b) Alors, il y a un si large éventail de temps parce qu’il arrive parfois que je sois amené à faire des recherches.
  9. Quelles sont les principales règles qui sont imposées par le français ? Ce sont notamment la morphologie de la phrase et la construction grammaticale autour du sujet.
  10. Conjuguez correctement les verbes :
    a) En tant que traducteur indépendant, il arrive qu’on soit parfois isolé. (subjonctif)
    b) Il faut adapter le texte japonais, pour que les francophones puissent bien le comprendre. (subjonctif)

Auteur : ロラン

JP/FR/EN

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :